Danse de la Joie? Pourquoi?
En tant que danseuse, j’ai cheminé en commençant par la rigueur de la danse classique, au conservatoire de Nice puis à l’école internationale de Rosella Hightower à Cannes. J’ai continué sur scène, dans diverses compagnie de danse contemporaine, et de cabaret. Suite à un divorce, j’ai dû arrêter complètement la danse, pour ne faire que du yoga. Cette pause forcée, m’a fait mûrir ma danse, et pour mieux me reconnecter à elle, y puiser dans son essence : l’improvisation. J’y ai rajouté une approche yogique et chamanique. La dimension de la joie correspond à une médecine de l’âme. Pour moi comme pour beaucoup d’artistes, l’art est une médecine qui m’a été confirmée par beaucoup de mes élèves. Ouvrir des espaces de rencontre avec soi-même, avec l’autre, avec l’infini des possibles de la vie, est une aventure extraordinaire.